Avec cette nouvelle Saint-Valentin, je vis le même cauchemar que chaque année le 14 février. C’est horrible. Beaucoup d’écrivains font de l’amour sous toutes ses formes un fonds de commerce. Pas moi.
Alors je vous accorde que je m’étais laissé aller, une fois, à faire un petit roman gentiment érotique, une expérience bien innocente sur un homme et une femme qui vont vivre une nuit ensemble. Le titre était simple et parlant : « Ma nuit a été belle« .
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Certes, mon expérience formelle baptisée « Douze mois » pouvait, en un certain sens, être vu comme un roman d’amour. Mais en un certain sens seulement. Il pourrait être périlleux, au premier abord, de vouloir voir, de la même façon, deux de mes romans préférés, « Le violon » et « Le pornophile« , comme des romans d’amour. Et, pourtant, ils en sont certainement. Ce sont des romans sur la passion, sur le désir, sur la quête de l’absolu. Comment mieux définir des romans d’amour ? Bien entendu, pas d’eau de rose dans ces deux romans. N’oublions pas, évidemment, mon recueil de nouvelles « Désirs et Destins« .
Finalement, j’ai écrit bien plus d’oeuvres sur l’amour que l’on pourrait le penser… Bien entendu, tous ces livres sont disponibles sur mon site web. Il ne me reste donc plus qu’à vous souhaiter une bonne lecture.