Assumer ses choix, pour le meilleur et pour le pire, est une des plus grandes difficultés rencontrées par un être humain. Il faut en effet parfois constater à quel point nous nous sommes nous-mêmes mis dans les pires difficultés ou transformés en pures ordures. Il est plus facile de refuser de voir les conséquences ou, pire, d’accuser les autres de nos propres tourments.
C’est bien sûr le cas collectivement sur des problématiques comme les conflits nationalistes ou le changement climatique. Mais c’est aussi le cas sur des décisions individuelles.
Vouloir habiter à la campagne et accuser la Terre entière (mais pas soi-même) quand on constate que les transports coûtent cher. Procrastiner sur des travaux et en subir les conséquences. Et, bien entendu, choisir telle voie vers l’amour qui peut se révéler mortelle (pour soi, pour l’être aimé ou pour les deux).
Le choix est une thématique au cœur de mon dernier roman, « Jusqu’à ce que la mort nous sépare« . Cette histoire n’est pas la première, dans mes œuvres, à être sur le thème du choix et, aussi, ne nous en cachons pas, à être un peu, voire beaucoup, glauque. Citons l’une de mes œuvres préférées, « Le violon« , mais aussi « La fille d’un soir » ou « Le pornophile« .
Bonnes lectures !