Il n’y a pas si longtemps, j’ai écrit un roman, « Pendant que le monde s’écroule« .
Dans celui-ci, une ancienne journaliste allait rencontrer un ancien dirigeant du monde. Mais le monde s’écroulait. Il ne restait plus qu’à attendre qu’il achève de s’écrouler.
Pour mon plus grand malheur, régulièrement, depuis la parution de cet ouvrage, je me dis : « cette fois, le monde s’écroule ».
Je sais qu’un jour j’aurai raison. J’espère avoir tort encore longtemps.