Science-fiction parodique – Un vaisseau extra-terrestre s’écrase sur Terre. Le dernier survivant, désirant rentrer chez lui, condescend à aider les humains : ces créatures primitives auront accès à l’outre-lumière en échange d’un billet de retour pour leur guide improvisé. Une bande de bras cassés du monde entier (enfin, l’élite des nations, des nouveaux pionniers, pour être exact) s’embarque à la découverte des espaces infinis en espérant pouvoir revenir un jour…
Ce roman a d’abord été diffusé sous forme de feuilleton sur Internet.
Illustration de couverture par François Cointe.
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Like a dead kangaroo
Une chanson a une très grande importance dans l’histoire des Pionniers d’Outre-Lumière : Like a dead kangaroo (on the road shoulder), interprétée par un chanteur australien nommé Bill Posters. Pour rapprocher les peuples de la galaxie, apprenez vous aussi à la chanter.
Elle est présentée sur sa page dédiée dans la partie Musique de ce site.
A propos de Les pionniers d’outre-lumière
Cette parodie d’à peu près tout ce qui existe en science-fiction a d’abord été diffusée sous forme de feuilleton sur une liste Internet du printemps à l’été 2008.
Genèse et intentions
« Tout a commencé par une belle journée de printemps. Je ne cherchais pas spécialement de raccourcis et je n’en ai donc pas trouvé. Je n’étais pas non plus particulièrement fatigué [Toute ressemblance avec un générique d’une série de science-fiction américaine…].
J’étais en voyage en Australie et les murs de Sydney étaient couverts d’une inscription étrange : « Bill posters will be prosecuted ». Certes, cela signifie simplement que les colleurs d’affiches auront des ennuis mais je me suis dit qu’il doit bien y avoir des gens qui s’appellent Bill Posters. Je me suis donc mis à imaginer qui pourrait bien être ce fameux Bill Posters. Les routes australiennes étant peu sures pour les kangourous, variante locale du hérisson européen, les cadavres de ces marsupiaux sont nombreux sur les bas côtés. Cet élément servit à construire le personnage de Bill Posters…
Je me suis dit, ensuite, que Bill Posters devait se sentir bien seul et j’ai commencé à lui imaginer des compagnons. Et comment réunir tous ces gens si ce n’est dans un équipage ?
Comme, par ailleurs, j’avais acquis peu avant mon voyage le DVD d’un film injustement méconnu, Galaxy Quest, une parodie de Star Treck, l’équipage devint celui d’un vaisseau spatial.
Il manquait alors l’extra-terrestre de service, le docteur Spock local.
C’est alors que Gwizk s’est imposé de lui-même. Il lui fallait un rôle à sa mesure et j’espère que c’est bien le cas.
Le nom du Japonais de l’équipage mérite une explication. Tout vient d’un billet de blog d’un expert judiciaire en informatique qui, au détour d’une réflexion, mentionna que Jules César adressa probablement ses dernières paroles à son fils adoptif Brutus en Grec, la langue des lettrés de l’époque, et non pas en Latin, la langue populaire de Rome. Or il se trouve que ces paroles en Grec constituaient un superbe nom japonais…
Enfin, je remercie Peter S. pour sa relecture des paroles de la chanson de Bill Posters. »
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