S’il est un thème récurrent dans la science-fiction, c’est bien la conquête de l’espace. Les romans, les nouvelles et les films sur le sujet sont innombrables. Bien entendu, je me suis livré aussi à l’exercice d’imaginer la conquête de l’espace par l’être humain. Mais, à chaque fois, j’ai veillé à y apporter un angle de vue original, sur la forme ou sur le fond, et de rester le plus réaliste possible, en tenant compte de multiples difficultés pratiques.
Bien entendu, ce billet fait avant tout référence à ma dernière parution, Au loin.
Dans ce roman, c’est une expédition partie depuis plus d’un siècle qui arrive enfin dans le système de Tau Ceti. Ceux qui arrivent n’ont pas connu la Terre et ne connaîtront jamais une planète. Seuls les nouveaux nés auront la charge de créer une nouvelle humanité.
Mais avant ce dernier roman, j’ai parlé de l’étrange planète parcourue par Velik Kantor. Là, on était plus dans la fausse fantaisie que dans la science-fiction. Dans la même veine, j’ai écrit Le cirque du monde.
Et puis il ne faudrait pas oublier mon roman épistolaire Les lettres de l’espace. Dans celui-ci, il s’agit de conquérir simplement la planète Mars. La forme épistolaire donne une saveur particulière que, j’espère, vous apprécierez.