Pierre Béhel est un écrivain dont la passion s'exerce aussi bien dans le roman traditionnel, la science-fiction et la fantaisy, le théâtre, la poésie, la comédie et la parodie...
Pierre Béhel est né en 1968. Il a exercé de nombreux métiers, touchant tour à tour à la communication, à l'enseignement, au journalisme...
A côté d’un certain nombre de romans, j’ai aussi écrit des nouvelles, en général rassemblées par recueils thématiques. Le recueil « Désirs et destins » rassemble ainsi 21 nouvelles appartenant à tous les genres (tendres, cruelles, drôles, fantastiques…) sur l’amour et le désir.
Parmi celles-ci, il y en a une que j’aime beaucoup et que je cite régulièrement quand il s’agit de parler de surveillance généralisée, de lois liberticides, etc.
Le coronavirus Covid-19 provoque actuellement une certaine panique. Il y a des morts. Des mesures draconiennes sont prises pour tenter de limiter la contagion. De nombreux événements où la foule se serait massée sont annulés. C’est un bon moment pour se poser une question : un tel virus pourrait-il vraiment mettre en danger l’humanité ?
Il se trouve qu’au moment de rédiger Le survivant solitaire, je m’étais intéressé à la question. Il fallait en effet que mon roman, bien que d’anticipation, soit un peu crédible.
« Velik Kantor et les chasseurs de dragons » vient de paraître. Bien entendu, ce roman appartient à la littérature de l’imaginaire, à la science-fantasy pour être exact. Il emprunte donc une forme générale d’heroic-fantasy pour se révéler être en fait de la science-fiction.
C’est un récit d’aventure, léger et sans grandes réflexions, qui se dévore comme un bonbon. Il faut savoir faire des pauses de pure distraction… avec un personnage haut-en-couleur pas tout à fait héroïque. J’espère en tous cas que rencontrer Velik Kantor vous plaira.
Mon dernier roman, Velik Kantor et les chasseurs de dragons, qui vient de paraître, constitue une occasion de revenir sur les dragons. Ces créatures mythiques sont en effet fascinantes à bien des égards, d’abord par leur diversité, même si, la plupart du temps, ils représentent une force maléfique ou hostile aux humains.
S’il existe quelques animaux réels qui comportent le terme « dragon » dans leur nom, comme le dragon de Komodo, une sorte de varan, on peut dire que le dragon (au sens courant du terme) est un animal imaginaire. Mais sa description est pour le moins variable. Des dragons chinois aux dragons cracheurs de feu des mythes du Moyen-Age occidental, le dragon n’a guère de description claire. Celui de la Bible est un simple serpent, voire un lézard vivant dans le feu (mais ne le crachant pas) de l’Enfer.
L’apprenti-chantre Velik Kantor doit visiter le continent de Vatra, sur la face sombre du monde, afin d’en rapporter un chant et un élément matériel. Alors il pourra prétendre devenir chantre-compagnon.
Lors de son arrivée à Lucosselo, il se fait enrôler dans la troupe d’un chasseur de dragons, Tajni Lopov.
L’aventure pourra-t-elle lui inspirer son chant et lui fournir une relique de dragon ?
Mon prochain roman va bientôt être publié. Il n’est donc que temps, avant qu’il ne disparaisse de la page d’accueil de mon site, de revenir sur « Qui m’a tué ?« , mon dernier roman à ce jour.
Avec un titre comme celui-là, il s’agit évidemment d’un roman policier. Mais l’usage de la première personne peut surprendre. Quel mort pourrait demander qui l’a tué ? Un fantôme ? Non, pas de remake du film-culte Ghost dans ces pages. Il s’agit ici d’une copie de l’esprit du mort, copie hébergée dans un ordinateur.
Avec cette nouvelle Saint-Valentin, je vis le même cauchemar que chaque année le 14 février. C’est horrible. Beaucoup d’écrivains font de l’amour sous toutes ses formes un fonds de commerce. Pas moi.
Alors je vous accorde que je m’étais laissé aller, une fois, à faire un petit roman gentiment érotique, une expérience bien innocente sur un homme et une femme qui vont vivre une nuit ensemble. Le titre était simple et parlant : « Ma nuit a été belle« .
Créer puis diffuser ses œuvres sans avoir de compte à rendre à quiconque, sans avoir à tenir compte des modes et en restant pleinement maître de ses créations. Voilà ce qu’apporte l’auto-édition (pour les écrits) ou l’auto-production (pour la musique et la vidéo).
Jadis, il fallait être riche pour se le permettre. Ce n’est plus vrai. L’auto-production est à la portée d’individus ordinaires, l’auto-édition est d’un coût quasi-nul. Un ordinateur et des logiciels, éventuellement libres, suffisent pour l’auto-édition.
Cette fois, le divorce entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande-du-Nord est prononcé avec effet au 31 janvier 2020. Ce divorce a un nom : Brexit.
Les relations entre l’Anglais et les Européens ont toujours été compliquées et ont souvent résulté du hasard. C’est ainsi que ces relations ont pu être modifiées à plusieurs reprises dans mon recueil de nouvelles uchroniques, Les derniers seront les premiers.
Et j’ai consacré un long passage de ma conférence Les mythes de l’Europe Chrétienne à cette chère Jeanne d’Arc ainsi qu’à la Guerre de Cent Ans.