Le Mondial de la Mobilité, de l’automobile et de la moto Paris 2018 est ouvert du 4 au 14 octobre 2018. A l’occasion de ses 120 ans, et sans doute pour boucher les trous devant quelques absences remarquées de marques (comme la famille Fiat), l’événement intègre une exposition « Les Routes Mythiques » dans le Hall 5 (niveau bas).
Sur la base de « routes » marquant en fait des époques (de la fin XIXème siècle aux concept-cars début XXIème), l’exposition présente divers véhicules mythiques. Beaucoup sont classiques. Mais certains assez rares, comme l’autochenille de la Croisière Jaune (Citroën C4 P17).
Pierre Béhel
Mondial de l’Automobile Paris 2018 : une édition électrique avec peu de surprises
Le Mondial de la Mobilité, de l’automobile et de la moto Paris 2018 est ouvert du 4 au 14 octobre 2018. Il exploite l’espace d’exposition ViParis de la Porte de Versailles mais ce vaste espace est loin d’être plein. Plusieurs marques n’ont pas fait le déplacement (comme la famille Fiat). Petite édition par le nombre de marques, petite édition aussi par son intérêt.
Bien sûr, chaque marque met en avant ses nouveaux modèles mais sans qu’on trouve de véritable révolution. La place du véhicule électrique s’est juste confirmée : presque plus de marques n’en proposent pas. Même Aixam, le spécialiste des véhicules sans permis, en propose des électriques sur son immense stand ! En lire plus Mondial de l’Automobile Paris 2018 : une édition électrique avec peu de surprises
Adieu à Gutenberg !
Les responsables de la communauté WordPress ont largement communiqué autour de la prochaine sortie d’une nouvelle version majeure de cette plate-forme de gestion de contenu (CMS) open-source. Parmi les grandes nouveauté, il y a un nouvel éditeur d’articles baptisé Gutenberg. Une extension est proposée pour la version actuelle de WordPress pour s’habituer à ce nouvel éditeur.
J’ai donc testé. Pendant plusieurs mois. J’ai insisté. Et j’en ai déduit que ce machin qui complique tout est une m… J’ai donc désinstallé l’extension Gutenberg et j’espère que cet éditeur ne sera pas obligatoire dans la prochaine version de WordPress, sinon j’irai voir ailleurs.
Même les communautés open-source sont régulièrement atteintes d’un syndrome baptisé « amélioration de l’expérience utilisateur ». Dans la très grande majorité des cas, ce qui en résulte est une expérience moins agréable, un process plus compliqué et, au final, moins de fonctionnalités. Gutenberg ne fait pas exception. Si je me contentais de râler en me disant que j’allais m’y faire, un élément a été le déclencheur du « bon, cette fois, ça suffit ». Cet élément est l’impossibilité de gérer des listes… Oui, un truc basique en HTML.
Quant à la fameuse gestion des articles en blocs, je continue d’en chercher le moindre intérêt.
Et si les perdants avaient gagné ?
J’ai toujours été frappé par le grand rôle de ce qu’il faut bien appeler le hasard dans l’Histoire. Un moment, une hésitation, une décision qui se révèle stupide mais qui aurait pu être géniale, un orage au bon ou au mauvais moment…
Isaac Asimov, avec ‘La fin de l’éternité’, avait voulu montrer qu’un détail pouvait tout changer. Pour moi, ce détail peut être le vrai fruit du hasard.
J’en ai fait un recueil de nouvelles uchroniques : Les derniers seront les premiers.
Les derniers seront les premiers
Nouvelles uchroniques – Dans l’histoire, le gagnant n’a souvent dû sa victoire qu’à un heureux hasard, à un détail. Que se serait-il passé si son adversaire avait bénéficié du hasard ?
Le monde aurait pu alors ressembler à ce qui est décrit dans ces quelques nouvelles.
Illustration de couverture : Pixabay
En lire plus Les derniers seront les premiersMangeons nous les uns les autres
Mes têtes de turc du moment sont les Végans. Un autre billet récent intitulé « L’envahissante propagande végane » s’intéresse à eux et à leurs arguments. Mais un contre-argument souvent invoqué par eux mérite qu’on s’y attarde : si la norme de l’espèce humaine est de manger de la viande, pourquoi ne pas manger de la chair humaine ?
L’anthropophagie est un interdit très profondément ancré dans les valeurs sociales de la grande majorité des êtres humains depuis plusieurs millénaires. Cela ne veut pas dire, bien sûr, que le cannibalisme a totalement disparu, ni même qu’il est toujours rejeté. Mais pourquoi cet interdit et est-il, finalement, justifié ?
L’auteur des « Ombres de Morbourg », où des criminels pratiquent le cannibalisme associé à des rituels sexuels, ne pouvait pas laisser cette question sans réponse.
Futuro : auriez-vous habité dans une soucoupe volante ?
Jusqu’au 23 septembre 2018, la ville du Havre (Seine-Maritime) accueille dans les Jardins Suspendus (ancien fort de Sainte-Adresse) une maison Futuro. Avec un look assumé de soucoupe volante, la Futuro est due au designer finlandais Matti Suuronen.
Il s’agit d’une maison préfabriquée en fibre de verre et en plastique polyester. Le cahier des charges prévoyait un habitat transportable et démontable pouvant être installé sur un terrain en pente grâce à un support aux pieds réglables. Voici quelques photos.
La Futuro a été produite en une centaine d’exemplaires les années autour de 1970. Le concept a ensuite été totalement abandonné. Et c’est bien dommage. Un tel habitat, en bois ou en béton, avec des aménagements modernes, serait bien chic.
Les auteurs soumis secouent leurs chaînes
Après les scénaristes et d’autres catégories sociales non-salariées, les auteurs professionnels viennent de créer leur syndicat. La Ligue des auteurs professionnels s’est réunie dans la maison de Balzac le 6 septembre 2018 pour son lancement officiel. Comme leur billet le rappelle, la situation des créateurs ne cesse de se dégrader. Le webzine Actualitte a couvert l’événement en rappelant les faits que chacun connait.
Or, quand on regarde leurs doléances, de quoi s’agit-il ? Le plus souvent, des relations conflictuelles avec des éditeurs.
Quand comprendront-ils que, au XXIème siècle, il existe un truc qui s’appelle l’auto-édition ?
Une grand-mère (trop) digne
« De grâce, ne nous obligez pas à être mourants pour avoir le droit de mourir. » Voilà une citation qui mérite d’être mise en avant. Son auteur est Jacqueline Jencquel, 75 ans, en pleine santé, et qui ne veut pas connaître la déchéance.
Son interview a été réalisée par le Nouvel Obs et mérite d’être lue.
Voilà donc quelqu’un qui n’a pas de maladie particulière et qui réclame un nouveau privilège : ne pas en connaître, pouvoir mourir avant.
L’auteur de « Une dernière semaine auprès de la mer » ne peut qu’applaudir.
Voyages : du neuf pour voir les photos
Jusqu’à présent, les photos associées à mes voyages étaient uniquement en téléchargement dans un fichier zip.
Désormais, pour chaque voyage, vous pourrez toujours télécharger le récit de voyage en PDF mais les photos pourront être visualisées directement en ligne.