La princesse et la grenouille, de John Musker, est un retour aux sources pour les studios d’animation Walt Disney. Ou presque. Car, ici, la victoire de Barrack Obama a déjà marqué le scénario : la jeune fille pauvre et noire mais qui travaille sans cesse devient la Cendrillon de ce conte moderne où le prince n’est guère, au départ du moins, très recommandable.
Certes, le sorcier fait légèrement penser au Raspoutine de l’Anastasia de Don Bluth (ancien Disney passé à la concurrence) par plusieurs de ses aspects, y compris par sa fin. Mais ne boudons pas le plaisir d’un grand Disney.
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