Même si l’actualité n’est pas toujours réjouissante, je souhaite à tous mes lecteurs de joyeuses fêtes de fin d’année.
Rappelons d’ailleurs que la fête de Noël, en tant qu’anniversaire de Jésus, n’a été fixée qu’au quatrième siècle de l’ère chrétienne (entre les écrits d’Hippolyte de Rome et l’Edit de Thessalonique), en référence à la fête romaine du Soleil Invaincu, à une fête celto-germanique liée au Solstice (d’où le sapin illuminé) et à l’anniversaire de Mithra. Personne ne sait exactement quand Jésus est né (mais à une époque où les troupeaux de moutons sont dans les prés avec leurs bergers) et le choix du 25 décembre est purement symbolique et politique (pour se substituer aux fêtes païennes).
Je vous invite à cette occasion à (re)découvrir ma conférence de vulgarisation sur le sujet.
Mais que cela ne vous empêche pas de manger du foie gras et de passer d’agréables moments en famille. C’est là l’essentiel.