Que reste-t-il de Lucien Ginsburg ? Sans doute pas même quelques os, au cimetière du Montparnasse. Que reste-t-il de Serge Gainsbourg ? Une œuvre musicale considérable et une influence importante sur de nombreux artistes qui l’ont avoué, sans oublier ceux qui ne veulent pas l’admettre.
C’est là la différence entre un être humain et un artiste de génie.
Lucien Ginsburg dit Serge Gainsbourg est né le 2 avril 1928 à Paris et mort le 2 mars 1991 dans cette même ville, il y a trente ans.
Le cordonnier mal chaussé, tout ça, vous connaissez ? Eh bien, j’en suis un. Dans ma conférence sur l’auto-édition, je recommande bien de ne pas négliger la promotion. Evidemment, je suis le premier à négliger cette indispensable promotion !
Si mes ouvrages se vendent tant bien que mal à droite ou à gauche, les résultats commerciaux ne sont pas terribles. J’avais arrêté les salons avant même le confinement et la crise sanitaire. Et, en 2020, la lecture de mes oeuvres sur la plate-forme de streaming Youboox a prodigieusement chuté. Là, je me suis dit qu’il fallait réagir.
L’actuelle crise sanitaire liée à la pandémie Covid-19 me force à rester chez moi plutôt que de voyager comme j’en ai l’habitude. Adieu, voyages dans des lieux lointains.
Ceux qui visitent ce site savent pourtant que l’on peut y trouver autant mes photos que mes récits de voyages dans la rubrique dédiée.
Alors, faute de voyage réel, autant s’offrir des voyages virtuels. Je vous laisse mener votre propre itinéraire. Bon voyage !
La nouvelle est passée relativement inaperçue : le chanteur Pascal Obispo a décidé de se lancer dans l’auto-production et l’auto-diffusion. Il a pour cela créé un service baptisé Obispoallaccess avec une application mobile associée.
En tant que chantre de l’auto-édition, je ne peux que me réjouir qu’un artiste connu comprenne qu’un éditeur ou une maison de disques constituent beaucoup de contraintes sur la liberté artistique, sur la propriété intellectuelle, etc. pour des bénéfices de plus en plus minces à l’heure où la vente de disques physiques (CD ou autres) s’effondre et que le streaming progresse.
Marcel Proust avait ses madeleines. Pour beaucoup de quinquagénaires, voire de plus jeunes, il y a des Toons. Nous avons débuté dans la vie avec Bugs Bunny, Daffy, Porky Pig, le loup et la pin’up de Tex Avery, Mickey, Donald, etc. Et il y avait une émission emblématique de la chaîne Canal+ où l’on voyait et revoyait des courts-métrages animés datant pour certains d’un demi-siècle, « Ca cartoon« , animée par Philippe Dana.
Celui-ci a publié chez l’éditeur Kero un récit de la création des Toons, avec l’histoire des véritables héros, les artisans d’Hollywood ou de New York qui fabriquèrent ces films.
« Ainsi meurt la démocratie… » : ces quelques mots prononcés par Padmé Amidala, sénatrice de Naboo, dans le film « La Revanche des Sith« , au moment où son ancien mentor prend le pouvoir absolu et devient Empereur de la Galaxie, constituent un point culminant du film. Car, oui, la démocratie peut mourir. La démocratie est morte de nombreuses fois dans l’histoire, et pas seulement à cause d’une invasion barbare détruisant un havre de paix civile. Le cas le plus fréquent est d’ailleurs un effondrement de l’intérieur.
Ce qui s’est passé à Washington le 6 janvier 2021 restera sans doute dans l’histoire comme un choc semblable à celui du 11 septembre 2001. Les Etats-Unis sont autant fragiles que les autres. Là-bas aussi, la démocratie peut chuter.
La crise sanitaire liée au Covid-19 a secoué singulièrement un certain nombre de commerces qui, déjà, allaient mal depuis des années. Parmi ceux-là, deux râlent parce que, vous comprenez, c’est de la Culture et rien n’est plus important que la Culture (oui, avec un « C » majuscule). Je veux bien sûr parler des libraires et des cinémas. Vous vous doutez bien que, si je pose la question, en titre, de savoir s’il faut les sauver, la réponse ne va pas forcément aller dans le sens des râleurs.
Ce blog est là pour vous montrer que j’aime beaucoup les films. Je suis abonné à Amazon Prime et Disney+, services que je regarde avec un home-cinema. Auparavant, j’allais souvent au cinéma à une époque où j’avais un abonnement à moins de vingt euros par mois. Et puis la programmation étant devenue de plus en plus déplorable, j’ai cessé d’y aller régulièrement et j’ai arrêté mon abonnement. Depuis, le tarif exorbitant me retient d’y aller le plus souvent.
En tous cas, j’espère qu’elle sera meilleure que 2020. Et, pour conjurer le spectre d’un nouveau confinement pour cause de crise sanitaire, je vous souhaite cette bonne année avec une image que j’ai prise dans un avion, en route vers le Sénégal.
Je vous souhaite un joyeux Noël et de très bonnes fêtes de fin d’année.
J’espère que vous avez pensé à acheter mes œuvres complètes pour les offrir à tous vos proches, sauf, bien sûr, si vous l’avez fait une année précédente. Sinon, il sera toujours temps de vous rattraper l’année prochaine : au moins un nouvel ouvrage sortira d’ici là.