J’ai récemment tenté de lire un roman plus ou moins fantastique aux critiques élogieuses et ayant récolté quelques prix : « Les veilleurs« , de Vincent Message (760 pages). Le livre m’est tombé des mains et, après de puissants efforts débouchant sur un échec, je me suis résolu à en sauter plus de la moitié pour connaître la fin.
Ma réaction et le dithyrambisme des critiques m’a rappelé un autre ouvrage : « Les bienveillantes » de Jonathan Littell (Prix Goncourt et Grand Prix du Roman de l’Académie Française en 2006, 1400 pages). Et un autre, de pseudo-science-fiction française, « La horde du contrevent » d’Alain Damasio. En lire plus L’art du récit, c’est tellement démodé !