Mamma Mia : ils ont pris cher

Mamma Mia! Here We Go Again, de Ol Parker, avec Lily James, Pierce Brosnan, Meryl Streep et Cher, fait suite au premier Mamma Mia sorti il y a 10 ans (en 2008). Elle suit deux axes différents : d’une part la jeunesse de la mère aboutissant à la naissance de la fille, d’autre part la création d’un hôtel par la fille en mémoire de la mère décédée.
Cette comédie musicale continue de mettre en scène les chansons de Björn Ulvaeus et Benny Andersson du groupe Abba. En lire plus Mamma Mia : ils ont pris cher

Les religions conservent ce qui ne devraient pas l’être

Les religions -surtout monothéistes- mettent de l’absolu là où il y a du relatif, de la stabilité là où il y a du changement. Et, de ce fait, elles bloquent et provoquent des conflits. Elles empêchent les humains d’évoluer, de changer, de se remettre en cause. Elles nuisent au bonheur. Je vais ici le démontrer.

J’entends par « religions » une croyance organisée par une structure sociale (église, clergé, docteurs de la loi, etc.). Rechercher un sens à l’existence, à l’univers, est une nécessité mais ne passe pas nécessairement par l’adoption d’une religion structurée. En lire plus Les religions conservent ce qui ne devraient pas l’être

Un mois d’accès à toutes mes oeuvres via Tipeee

TipeeeComme vous le savez, je permets à mes fidèles lecteurs de me soutenir en échange de l’accès à mes oeuvres via  la plate-forme Tipeee. Jusqu’à présent, mes soutiens ne pouvaient qu’accéder à des oeuvres courtes en échange d’un montant symbolique.

Je viens de lancer une offre d’accès complet forfaitaire à mes oeuvres en format électronique pour tous ceux qui me soutiennent avec un montant plus conséquent, via mon site Club. En contribuant au moins à ce niveau, mes soutiens obtiennent un mot de passe qui leur donne accès à toutes mes oeuvres en ePub et en PDF, parfois avec quelques bonus. Le mot de passe fourni change évidemment au bout du temps défini.

Je vais tester cette formule durant l’été. Si elle rencontre un certain succès, je la poursuivrais.

Contribuer et accéder au Club Pierre Béhel.

L’Homme qui tua Don Quichotte : voyage en folie

L’Homme qui tua Don Quichotte, de Terry Gilliam avec Jonathan Pryce, Adam Driver, Olga Kurylenko, a connu vingt-cinq années d’aventures. Quoi d’étonnant pour un film sur un chevalier à triste figure cherchant l’aventure ? Ou, plus exactement, sur des personnes persuadées d’entrer dans les aventures de ce chevalier ?
L’oeuvre de Cervantes est ici revisitée sous l’angle de la folie. En lire plus L’Homme qui tua Don Quichotte : voyage en folie

Droits d’auteur : l’auto-édition est la solution contre les abus des éditeurs

Coup de gueuleAprès mon coup de gueule d’il y a une semaine, je veux revenir encore une fois sur la question des droits d’auteur. Ceux qui le remettent en cause ne sont pas quelques adolescents boutonneux qui se partagent des fichiers, ou même quelque cybermafia. Ce sont les éditeurs, les producteurs, bref ceux qui accaparent les droits des auteurs et râlent tant aujourd’hui contre le numérique. Et, bien sûr, ils regardent de haut les créateurs autonomes, comme les auteurs auto-édités, qui se refusent à passer sous leurs fourches caudines.

Nouvel exemple avec un article, intitulé « Contrat d’édition à l’ère numérique : bilan mitigé« , paru dans l’excellente lettre professionnelle Edition Multimédi@, n°191 datée du Lundi 11 juin 2018. En lire plus Droits d’auteur : l’auto-édition est la solution contre les abus des éditeurs

Jurassic World, Fallen Kingdom : sauveteurs à sauver

Jurassic World, Fallen Kingdom, de Juan Antonio Bayona, avec Chris Pratt et Bryce Dallas Howard, poursuit le reboot de la saga Jurassic Parc. Cette fois, les dinosaures artificiels de l’Isla Nublar ont un vrai problème : l’île est en train d’exploser à cause d’un volcan fort opportun. Comme dans le deuxième opus de la saga d’origine, il va donc falloir aller les chercher, officiellement pour les sauver, officieusement pour des desseins moins avouables.

Mais le résultat sera évidemment que des dinosaures vont se retrouver sur la terre ferme (et dans la vraie mer). En lire plus Jurassic World, Fallen Kingdom : sauveteurs à sauver

Et le Droit d’Auteur, c’est du poulet ?

Coup de gueuleUn article publié sur ActuaLitte m’a fait bondir : en Angleterre, une « start-up » veut salarier des auteurs de romans. En échange du revenu garanti, bien entendu, les droits d’auteur sont globalement cédés même si un système de prime en cas de succès semble prévu.

Au départ, il existe un constat évident : les éditeurs traditionnels sont inefficaces, conservateurs, arrogants et non-rentables. Donc, il faut changer le système, ce qui se fait déjà grâce à l’auto-édition comme je peux le pratiquer.

Alors, certes, avoir la capacité de s’arrêter de travailler pour écrire est probablement intéressant (bien que cela peut se discuter car l’isolement qui en résulte n’est pas forcément très inspirant). Mais la logique qui est derrière cela est bien la dépendance d’un créateur vis-à-vis d’un financier. Celui-ci, au passage, dirige strictement la ligne éditoriale de la production pour en faire des produits parfaitement marketés en fonction des modes et des ventes.

Le système sera sans doute plus efficace que celui d’éditeurs qui se moquent autant du marché que des auteurs. Mais, pour ma part, la liberté de de création ne doit pas se négocier et, surtout, le produit créé doit rester la pleine propriété de son créateur. C’est un acquis issu du combat de Beaumarchais que l’on ne doit pas jeter aux orties.

Solo : a not so bad Star Wars Story

Solo : A Star Wars Story, de Ron Howard, avec Alden Ehrenreich (Han Solo), Woody Harrelson, Emilia Clarke et Donald Glover (Lando Calrissian), nous plonge dans la jeunesse de Han Solo. Quelques années avant de rencontrer Luke Skywalker dans l’épisode IV de Star Wars (le premier épisode historique), il a déjà rencontré Chewbacca, Lando Calrissian et l’amour avec le Falcon Millenium.

Cette histoire dérivée du cycle Star Wars vient donc se placer entre les épisodes III et IV. Elle permet à Disney de poursuivre son exploitation de l’univers créé par George Lucas alors que la République sombre dans le chaos après la proclamation de l’Empire, les cartels criminels prenant souvent le pouvoir. En lire plus Solo : a not so bad Star Wars Story