Quoi de neuf ?

« Velik Kantor et les chasseurs de dragons » vient de paraître. Bien entendu, ce roman appartient à la littérature de l’imaginaire, à la science-fantasy pour être exact. Il emprunte donc une forme générale d’heroic-fantasy pour se révéler être en fait de la science-fiction.

C’est un récit d’aventure, léger et sans grandes réflexions, qui se dévore comme un bonbon. Il faut savoir faire des pauses de pure distraction… avec un personnage haut-en-couleur pas tout à fait héroïque. J’espère en tous cas que rencontrer Velik Kantor vous plaira.

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« Qui m’a tué ?« , qui vient de paraître, est un technothriller, par conséquent à cheval entre le policier et la science-fiction.

Un célèbre savant vient d’être assassiné. Celui-ci travaillait justement sur la modélisation de son esprit. Et cette modélisation va alors être amenée à enquêter sur son propre assassinat.

L’ouvrage est évidemment disponible sur toutes les plates-formes habituelles : Amazon, Kindle, Kobo et The Book Edition.

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Tout commence par huit milliards de morts. C’est pourquoi « Le Survivant Solitaire« , mon dernier roman, appartient au genre du Post-Apocalyptique.

Cela compense avec le précédent, « Ma nuit a été belle« , dont le cahier des charges précisait qu’il fallait 0 mort, 0 blessé, 0 personne malheureuse.

Ici, tout le monde meurt… sauf un. A lui de se débrouiller, à lui de recueillir l’héritage de millénaires d’humanité. Tant pis pour toutes les questions qu’il se pose.

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J’ai suffisamment proclamé que jamais, jamais, jamais je n’écrirai une histoire d’amour pour, bien sûr, écrire un jour une telle histoire.

Il est vrai que certains fans se plaignaient que tous mes héros connaissaient mille malheurs et souvent des destins tragiques.

Ma mission était donc d’écrire une histoire où tout le monde serait heureux et où il n’y aurait aucun mort. Bien entendu, la fin devait également être heureuse.

Le résultat, c’est « Ma nuit a été belle« .

J’ai toujours été frappé par le grand rôle de ce qu’il faut bien appeler le hasard dans l’Histoire. Un moment, une hésitation, une décision qui se révèle stupide mais qui aurait pu être géniale, un orage au bon ou au mauvais moment…

Isaac Asimov, avec ‘La fin de l’éternité’, avait voulu montrer qu’un détail pouvait tout changer. Pour moi, ce détail peut être le vrai fruit du hasard.

J’en ai fait un recueil de nouvelles uchroniques : Les derniers seront les premiers.

Mon nouveau roman vient de paraître : Une dernière semaine auprès de la mer. Il est dérivé d’une vieille et courte nouvelle, au même titre, parue à la fin du recueil Carcer et autres libérations.

Je voulais en effet en développer le thème. Farouche partisan du droit à mourir dans la dignité et du droit au suicide assisté, j’ai imaginé dans ce roman comment cela pourrait se faire, et sous quelles conditions, afin de s’assurer du réel sérieux de la démarche.

Découvrez ce livre ici, disponible dans les boutiques habituelles.

Nouvelle parution : Génération Oméga : ceux qui connaîtront la fin du monde. Ce roman est consacré à la dernière génération humaine avant un impact catastrophique d’une comète sur Terre. La fin du monde est certaine. Comment réagiriez-vous ? Comment vont réagir les gens à travers le monde ? Comment les gouvernements, les scientifiques vont-ils réagir ?

Génération Oméga est disponible sur toutes les plates-formes habituelles (Kindle, Kobo, The Book Edition, Amazon…).

Du point de vue de la forme, Génération Oméga applique à la science-fiction une forme assez inhabituelle, exercice déjà entrepris avec Les Lettres de l’Espace. Cette fois, il ne s’agit pas d’un roman épistolaire mais d’une succession de récits ponctuels qui vont composer un vaste récit, sur le principe déjà utilisé dans Douze Mois.

Désormais, Pierre Béhel possède sa page sur Tipeee !

Vous pouvez donc dès à présent soutenir sa démarche d’écrivain autonome sans lier ce soutien à l’achat d’un seul ouvrage précis.

En contre-partie de votre soutien, vous recevrez des nouvelles, des récits, des textes divers… Chaque texte sera autonome, donc aucun ne sera un extrait de roman qui laisserait sur sa faim.

Le financement participatif est à la mode. Il s’agit clairement d’une expérience. Le premier objectif est de couvrir les frais courants et les investissements passés. Mais si le système fonctionne bien, peut-être y aura-t-il des projets intéressants qui en sortiront…

Le TIPI (Techniques, Inventions et Procédés Imaginaires) vient de connaître une quatrième édition, la « 2017 ». Cet ouvrage est peu remanié par rapport à l’édition précédente de 2015 mais est désormais en collection « Direct-Lecteur » donc à petit prix (en l’occurrence 6 euros en version papier). Il demeure une compilation d’articles présentant des idées d’inventions ou de concepts d’entreprises. Simples idées, ceci dit, donc des amorces de réflexions pour des entrepreneurs mais pas plus. Voici la présentation complète du TIPI.
Deux nouveaux ouvrages, de pure distraction, gratuits en versions électroniques, sont également apparus : un petit livret de recettes de cuisine originales ou réinterprétées et un recueil de blagues baptisé Histoires d’e-rire.

Notre Fierté, L’Ombre des Etoiles, L’Ombre du Jeu et La Tour Bleue (dans l’ordre chronologique de l’histoire) se déroulent dans la ville de Morbourg et ont comme personnages Carole Nède et Mélissa Madeleine. Désormais, ces quatre histoires sont réunies dans un recueil unique baptisé Les Ombres de Morbourg.

Si Notre Fierté tient plus du roman social, l’ensemble appartient plutôt au genre policier.

Publier cet ouvrage est aussi une forme d’adieu à cet univers narratif.

Les Ombres de Morbourg est disponible en poche, en grand format et en versions électroniques.