J’ai toujours été frappé par le grand rôle de ce qu’il faut bien appeler le hasard dans l’Histoire. Un moment, une hésitation, une décision qui se révèle stupide mais qui aurait pu être géniale, un orage au bon ou au mauvais moment…
Isaac Asimov, avec ‘La fin de l’éternité’, avait voulu montrer qu’un détail pouvait tout changer. Pour moi, ce détail peut être le vrai fruit du hasard.
J’en ai fait un recueil de nouvelles uchroniques : Les derniers seront les premiers.