Il y a près de deux mois, j’ai écrit ici-même un billet intitulé « Créer puis promouvoir » où je m’accusais d’être un cordonnier mal chaussé. En l’occurrence, je rappelais que je notais dans ma conférence sur l’auto-édition comme un écueil majeur de l’auteur auto-édité de négliger sa promotion. Et je constatais alors que je négligeais fortement ma promotion. Je signalais donc que je lançais une série d’opérations promotionnelles. Il est vrai que mon niveau de ventes avait prodigieusement chuté sur un an (environ -90% !).
La première opération était la mise à disposition de services de presse pour les blogueurs et autres sur un site dédié. Si j’ai pu intéresser, malgré une promotion payante, une blogueuse qui m’a fait une très belle critique… ben, c’est tout ! Deuxième série d’opérations : une série de publicités payantes sur le site ActuaLitté, dédié au sujet de la littérature.
Au bout du compte, le bilan commercial de ces opérations est quasi-nul.
Je dois vous avouer que, parfois, je me dis : « à quoi bon ? »