Le tourisme temporel est un thème assez courant dans la science-fiction. Puisque nous allons célébrer, le 11 novembre, une nouvelle fois les héros de la première guerre mondiale, je vous invite à (re)découvrir une nouvelle extraite du recueil « Le temps perdu ne l’est pas pour tout le monde » sur ce thème du tourisme temporel et qui débute durant cette première guerre mondiale.
Je rappelle juste, en préalable, que ce recueil part du principe qu’il est devenu aisé de voyager dans le temps, les chrononautes étant dotés d’un engin ressemblant vaguement à une vieille montre baptisé chronokine pour revenir à leur point de départ. Je vous laisse désormais avec la nouvelle « Le malheur des uns« . Le titre fait bien sûr référence au proverbe « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». En l’occurrence, des touristes temporels.